NOM : Ramirez. Son nom, tout comme son prénom, lui rappelle ses origines, la zone 2 et la langue chantante qui y était encore parlée de temps en temps. Ça lui rappelle son abuela, les plages et la mer, immense. PRENOM : Uriel. Un héritage de son père parait-il. Ce dernier ne pouvant avoir d'enfant, quand sa femme lui dit qu'elle était enceinte, il crut à un cadeau du Ciel. Le prénom donné au bambin est un hommage à un Dieu auquel Uriel ne croit pas. Il voudrait dire "Dieu est ma lumière". Uriel a perdu depuis longtemps la sienne. DATE DE NAISSANCE/ ÂGE : Il est né il y a 36 ans, en 2191. STATUT CIVIL : Célibataire. Il est seul quand il se lève, il est seul quand il se couche. Il ne fait pas grand-chose pour remédier à ça. OCCUPATION ET AFFECTATION : Lieutenant des légionnaires, il oscille entre les actions sur le terrain et les bureaux. Il a accepté de prendre le flambeau de son prédécesseur. Il n'a pas demandé pourquoi ce dernier a quitté le poste. Il a vu une occasion de rester actif, de toujours ressentir l'adrénaline dont il a besoin, tout en se retirant en partie du terrain. Il espérait que les cauchemars perdraient en intensité. Il était naïf, ça n'a évidemment rien changé. HABITATION : Il vit seul sur l’Argus One. Si sa cabine, comme pour la majorité des habitants de la flotte est petite, il ne s’en est jamais plaint. Il y passe peu de temps, tout juste assez pour combler ses heures de sommeil. ARRIVÉE : Il est arrivé il y a 24 ans de ça. Ses parents, anciens employés de la Fédération ayant voulu, malgré l'arrivée du Triumvirat, croire encore en un avenir tourné vers les étoiles, décidèrent cette année-là, en prenant définitivement conscience que le gouvernement ne voyait plus l'avenir de l'Homme dans l'espace, de quitter la Terre. Ils firent appel à des pirates, qui, fait bienheureux, les amenèrent à bon port sans décider d'en faire des esclaves. Peut-être la somme versée y fut-elle pour quelques choses. Il avait douze ans quand il posa les pieds pour la première fois sur les vaisseaux de la Fédération. Il avait seize ans, quand il réussit enfin à l'appeler "casa".
INFORMATIONS PERSONNELLES
LIEU DE NAISSANCE : Il est né sur Terre, dans la zone 2, au bord d’une mer polluée au gré des marrées. FAMILLE : Seule sa mère est encore en vie. Avant ingénieur en informatique, sa santé s’est progressivement dégradée, les effets de longues années passées dans l’espace ne l’épargnant pas. Elle aide aujourd’hui les jeunes parents à élever leurs enfants. Son père est mort deux ans après leur arrivée sur la flotte. Une maladie contre laquelle il ne pouvait et ne voulait finalement pas lutter l’a emporté. Uriel n’a ni frère ni sœur et il ignore même si son abuela est encore en vie. Savoir qu’il ne pourra sans doute jamais se recueillir sur sa tombe et ignorer quand elle quittera ce monde le rend amer. ORIGINES : Il est issu de parents terriens et est lui-même né sur Terre. DOSSIER MÉDICAL : Il a été épargné par l’asthme et les problèmes pulmonaires. Sa vue a baissé, certes, mais jamais au point de le rendre incapable d’opérer sur le terrain. Quant à l’atrophie musculaire, il ne saurait pas dire : il est arrivé jeune sur la flotte et ses muscles ne s’étaient pas encore développés comme ceux d'un adulte. Alors peut-être que l’espace a eu un impact sur sa croissance, mais il ne saura jamais. PSYCHOLOGIE : Froid, droit, à l’écoute, intransigeant, obéissant, généreux, sarcastique, exigeant, observateur, dévoué, possessif, expansif, indépendant, inébranlable, méthodique, réaliste.
ONE Ayant grandi sur Terre jusqu’à ses douze ans, il a eu le temps de s’attacher à la planète. Elle était et est certes imparfaite, mais c’est là que son abuela lui a appris à nager, là qu’il a appris l’espagnol avant d’apprendre le mandarin, là qu’il a ressenti ses premières peines et ses premières joies. C’est là-bas qu’il est né et c’est là-bas qu’il ne reposera sans doute jamais les pieds. La zone 2 est désormais un lointain souvenir et des fois, il se rend compte avec amertume qu’il ne se souvient plus comment dire tel ou tel mot en espagnol. La langue lui file entre les doigts et il en fait parfois des rêves douloureux où il devient incapable de s’exprimer, où sa propre mère ne le comprend pas.
TWO A dix-huit ans, il se tourne vers le ministère de la défense. Ce n'est une surprise pour personne. Il a toujours voulu s'engager dans l'armée, que ce soit sur Terre avant de partir, ou sur la flotte. Gamin, il voulait faire partie de ceux qui exploreraient les futures colonies pour connaître leur viabilité. Aujourd'hui, il a appris que ses rêves étaient bien différents de la réalité mais pour rien au monde il ne lâcherait son boulot. Il s'est battu pour en arriver là, comme beaucoup. Sa mère aurait voulu le voir océanologue. Il ne l'a jamais envisagé sérieusement. Ca a toujours été l'action et se battre pour ce qui est juste, pour ce qu'il aime. Et même si les mauvais rêves polluent son quotidien, même s'il s'est en partie retiré du terrain, s'il arrêtait, s'il ne sortait pas du vaisseau, s'il ne voyait pas de nouveaux visages, s'il ne faisait pas face à de nouvelles situations, il ne pourrait pas vivre. Ce ne serait pas sa vie. Parce que voilà le problème, il a peur de l'ennui, de l'oubli, de l'inutilité, d'être un fardeau. Alors il est exigeant envers les autres mais surtout envers lui-même.
THREE Sa mère ne l'a pas vu grandir. Elle aussi, elle veut être utile à la Fédération, à ceux qui les ont acceptés dans leur exil, elle et sa famille. Elle veut que les enfants d'Uriel grandissent dans un monde meilleur, meilleur que la Terre. Elle veut aussi oublier la mort de son mari, qui n'a pas pu profiter de leur nouvelle vie, lui qui a tout risqué. Alors elle travaille à corps perdu et son fils grandit. Le concept, elle l'accepte. La réalité la surprend toujours cependant. Uriel devient plus froid, il perd la lueur rêveuse qui habitait ses yeux. Uriel devient légionnaire. Uriel ne parle plus de son abuela et le sujet semble le rendre furieux quand il est évoqué. Uriel n'a personne avec qui partager sa vie, il n'a pas d'enfant. Uriel dort mal et ses mots deviennent acides. Il aime toujours sa mère, mais aujourd'hui, quand il la voit aider les jeunes couples à élever leur enfant, il se dit avec ironie que finalement, elle les verra plus grandir que lui.
FOUR Il aime nager. Il aime tellement nager que le personnel de la piscine s’étonne de ne pas le voir certains soirs, quand il est trop las et fatigué pour venir ou tout simplement absent, en mission ou en train de remplir de la paperasse. Il aime nager, se laisser flotter et perdre son temps dans l’eau. C’est un des rares moments où il ne s’oblige pas à être efficace. Pourtant, la mer lui manque. Ses courants chauds, sa force, sa houle, ses marées lui manquent. Son bruit, son odeur lui manque. Le sable lui manque. Il a une photo de la mer dans ses appartements, qu’il regarde de temps en temps. La photo ne rend pas bien l’immensité de l’océan. Mais c’est déjà tellement plus que tout ce qu’il peut avoir. La piscine ne sent que le chlore, les carreaux ne sont que froids et glissants et les sons qu’il entend, ce sont les rires des enfants, pas le souffle du vent. Il ne regarde pas de vidéos de la mer, encore d'hologrammes, ce serait trop douloureux, ce serait se rappeler tout ce qu’il n’a plus. Il espère de tout son cœur qu’un jour, s’ils décident de s’installer sur une planète, cette dernière aura un magnifique océan.
FIVE Il parle l’espagnol aussi bien que l’anglais, mieux que le mandarin. Enfin, c’était au début, à son arrivée sur la flotte. Aujourd’hui, il a l’impression que la langue de ces ancêtres lui échappe. S’il n’a jamais adhéré à leur religion, l’espagnol a toujours été un lien fort avec ses grands-parents et sa famille restée sur Terre. Il la pratique principalement avec sa mère et en solitaire, proférant des jurons hispaniques plus vite que n’importe qui. Il le vit mal.
SIX Sa vie sentimentale est un désert. Il n’arrive pas à faire des efforts. Il est trop … lui. Il refuse de changer quoi que ce soit dans sa manière d’être, il se pense trop entier pour ça. Alors souvent, les repas tard le soir, il les passe seul, tout comme ceux qu’il engloutit aux aurores. Quand il regarde sa cabine, il n’a qu’une envie, c’est la fuir. Elle est stérile et souvent, il se demande s’il est capable d’aimer. Il se demande si quelqu’un fera briller ses yeux comme ceux de sa mère brillent quand elle parle de son père. Il se demande si un jour, il fera briller les prunelles de quelqu’un aussi fort que celles de son abuela quand elle regardait son grand-père.
SEVEN Un soir, peu de temps après son affectation en tant que lieutenant et après un retour de mission particulièrement pénible, un des collègues, croyant, par pure conviction et non pratiquant par tradition, lui confia que ses objectifs tenaient grâce à sa Foi. Peut-être par simple audace ou grâce à l’alcool qui lui avait trop délié la langue, il demanda à Uriel ce qui le faisait avancer et tenir debout. Il ne trouva en réponse que deux prunelles brunes orageuses. Le lieutenant finit son verre d’une traite, n’appréciant même pas la liqueur qu’il avait payée bien trop cher. Toujours est-il qu'Uriel n’en dormit pas de la nuit. Le devoir le pousse à se lever le matin. Mais il n’a rien d’intime, rien de personnel pour le motiver. Alors depuis, il essaie de rompre sa routine. Il passe plus de temps sur le vaisseau, essaie de s’ouvrir, de trouver ce qui le fera tenir debout un jour, quand son métier ne le portera plus à bout de bras. Il faut qu’il trouve, parce qu’il ne pourra pas être légionnaire toute sa vie. Pire que ça, il s’est rendu compte cette nuit-là que ses rêves avaient atteint leurs limites. Qu’il n’en avait plus sur lesquels il pouvait directement avoir un impact. Il ne rêve que d’une nouvelle planète, mais ce n’est pas de son ressort. Il ne veut pas devenir commandant. Il ne sait pas ce qu’il veut.
EIGHT Son lien avec son abuela était fusionnel. Il l’aimait et l’aime encore de tout son cœur. Elle lui a beaucoup appris et c’est elle qui lui a permis de se découvrir en tant qu’enfant. C’est elle qui lui a transmis son amour de la mer et de l’espace, de l’infini. C’est elle qui lui a dit ses premiers mots d’espagnol et encore elle qui lui faisait son excellente tarte à la mange, vieille spécialité de la zone 2. Il l’a quitté en larmes, il y repense toujours le cœur serré. Il donnerait beaucoup, si ce n’est trop pour lui dire à quel point elle lui manque, à quel point il l’aime, à quel point il veut goûter de nouveau sa tarte. Elle n’a pas voulu venir avec eux au moment de partir. « Qu’est-ce qu’ils feraient d’une vieille femme comme moi ? Non, je suis née sur Terre, c’est ici que je mourrai … ». Son grand-père est resté avec sa femme. Ses autres grands-parents sont morts bien avant l’arrivée du Triumvirat. Un oncle a bien tenté de rejoindre la flotte avant que sa propre famille ne tente le voyage. Mais en arrivant sur la flotte, il n’y en avait nulle trace. Uriel a toujours supposé qu’il s’était fait vendre comme esclave après son départ de la Terre, étant tombé sur des pirates moins scrupuleux que ceux qui les avaient emmenés, lui et ses parents à la Fédération.
NINE Dire qu’Uriel dort mal serait un euphémisme. Les cachets qui lui ont été prescrits ont fini dans l’évier après qu’il se soit aperçu qu’il y avait de quoi assommer un éléphant. C’est un adepte des micros siestes qui empêchent tout mauvais souvenir de remonter. Les cauchemars et insomnies rythment ses nuits. Il revoit un collègue mourir, tué lors d’une extraction minière à cause d’une mauvaise coïncidence. Il revoit une scène sanglante où un ami, légionnaire comme lui, finit tabassé jusqu’au sang lors d’une négociation catastrophique avec des pirates vindicatifs. Il revoit un retour de mission à laquelle il ne participait pas où ses collèges, la mine déconfite, annoncent qu’un des leurs a disparu. Il revoit beaucoup de scènes, pas toujours funestes, mais toujours douloureuses et qui se finissent inévitablement de la même manière. « C’est de ta faute ». La phrase sort des bouches déformées des gens qu’il aime. Quand il accepté de devenir lieutenant, il pensait qu’en maîtrisant davantage les choses, la culpabilité partirait. Ce ne fut pas le cas, ne fut même pire, la responsabilité lui pèse et l’étouffe.
TEN Adepte du marché noir à ses heures perdues, il y achète toute sorte de choses, de la mangue à l’alcool en passant par les clopes. Il y connaît certaines personnes, ne s’y attarde jamais longtemps. Mais depuis quelques temps, un nouveau mot attire son oreille. L’Astre semble partout, mais c’est seulement quand il a commencé à s’y intéresser que son omniprésence est devenue concrète à ses yeux. Avant « simple » drogue dont il connaissait l’existence, il se rend compte à quel point elle baigne la société. Sans frapper tout le monde, elle touche tous les milieux. Et ses oreilles. Ses envies aussi. Il n’a pas encore sauté le pas et se doute que derrière les beaux avantages de l’Astre, la chute doit être cruelle. Mais c’est tentant. C’est tellement tentant. D’être plus efficace que jamais, de ne plus être fatigué, de ne plus craindre le sommeil. Il a en envie, il en a besoin, pourtant il ne s’en est jamais procuré. Quelque chose l’en empêchent. Pourtant chaque mauvaise nuit le rapproche un peu plus de la dose bleutée et de sa promesse de libération.
Que pensait votre personnage du gouverneur Adam Wilkinson? Quelles sont ses pensées maintenant qu’il est mort, laissant derrière son plus grand projet A son arrivée sur la flotte, il lui en veut. Wilkinson est celui qui a permis à la flotte de partir, est celui qui a permis à ses parents de quitter la Terre, le prenant avec eux. Il est celui à cause duquel il ne verra sans doute plus jamais la mer et son abuela. Il est celui qui lui a arraché sa maison, sa vraie maison. Les années passent et la rancœur s’apaise. Rendu aux alentours de ces seize ans, la flotte devient enfin son chez lui. Mais il ne voue jamais une admiration sans borne pour Wilkinson. Il finit par le respecter, jamais l’adorer. Comme la majorité de la flotte, il porte le deuil au moment de sa mort, mais aucune larme n'est versée de sa part. Maintenant, il se dit que cela va peut-être permettre de redonner un nouveau souffle à la politique de la Fédération, que c’est un mal pour un bien.
Quelle est l’opinion de votre personnage sur les candidats qui se présentent pour remplacer Wilkinson? En ce moment, auquel d’entre eux pense-t-il donner son vote? Rosenstein, elle sait ce qu’elle veut, mais elle le sait peut-être trop bien. Elle ne changera pas de cap, ne fera pas d’alternatives. Elle est dans le passé. Uriel pense que Mugheri a de bonnes intentions, mais qu’elle aura bien du mal à se faire entendre. Et s’il veut revoir la terre, c’est pour retrouver la mer, le soleil, l’air et les fruits d’été. Ce n’est pas la Terre qu’il veut revoir, c’est le sol. Il a compris qu’il ne reverra sans doute jamais vivant sa famille restée sur sa planète d’origine, alors il veut aller de l’avant. C’est pour Zafy qu’il donnera son vote, pour celui qui donne le plus de chance à l’humanité d’avoir un nouveau départ. Pour celui qui lui donne une chance de tourner la page, de dormir tranquille, de nager librement de nouveau. Il a l’espoir, petit mais tenace, que lui aussi pourra faire partie des heureux élus à poser le pied sur une planète vierge et accueillante. Il a l’espoir de ne pas mourir sur ce vaisseau.
PSEUDO/PRÉNOM : / ÂGE: La majorité PAYS : France COMMENTAIRE : Le forum est beau en restant léger, les annexes sont très agréables à lire, j’ai eu plein d’idées de personnages en les lisant, un grand bravo pour tout ce travail très réussi ! AVATAR ET CRÉDITS : Diego Luna. Avatars : sundowner, gif : inconnu.
Codes de validation:
Code:
<bold>Diego Luna</bold> est joué par <a href="URL PROFIL">Uriel Ramirez</a>
<a href="http://beyond-earth.forumactif.com/u40">Uriel Ramirez (lieutenant des légionnaires)</a>
Sujet: (#) Re: "I'm only human after all" ~ Uriel Sam 13 Jan - 12:35
Messages : 589 Âge : 34 ans. Occupation : nommée contremaître de la flotte, et donc conseillère de l'amirale mugheri. Habitation : l'argus one, qu'elle retrouve après l'avoir quitté pour le colossus de nombreuses années. Arrivée : depuis 2201, il y a 26 ans.Avatar : sarah gadon. Crédits : moi (avatar)
DIEGOOOOO J'aime tellement tous tes choix je suis fan Uriel sera donc le chef de Marcus, c'est que y'a que des BG dans les légionnaires ça va pas du tout Garde moi un lien au chaud, même si je commence déjà à réfléchir à quelque chose Très hâte de lire la suite en tout cas ! Bienvenue donc
Sujet: (#) Re: "I'm only human after all" ~ Uriel Sam 13 Jan - 14:10
Messages : 461 Âge : 37 ans Occupation : Commissionnaire, fournisseur de consolation alcoolisée Habitation : Sur l'Albatross, son vaisseau amarré sur le Colossus 5 Arrivée : Il y a 7 ans, en 2220.Pseudo : GeniusPanda / Kim Avatar : Boyd Holbrook Crédits : (av) chrysalis
Bienvenuuuuuue !
Je met au défis les petites légionnaires de pas zieuter leur chef -pan- En tout cas je trouve le personnage vraiment cool J'ai beaucoup aimé le petit détail sur la langue espagnol et sur la religion ** c'est toujours bien d'intégrer ce genre de petit chose
Et puis merci pour les compliments, ravie que ça te plaise
Sujet: (#) Re: "I'm only human after all" ~ Uriel Sam 13 Jan - 23:19
Bravo petit stellarien, te voilà officiellement admis sur la Flotte !
Un stellarien qui aime la Terre mais s'est perdu dans les étoiles, c'est beau. Attention aux effets néfastes de l'Astre, y'en a qu'on essayé, ils ont eut des problèmes : cela dit c'est très rapide.
Les délégués et moi-même ne pouvons que t’inviter à te faire une place au milieu de tout ce beau monde et de chercher à t’intégrer. Pour cela, rien de plus simple, tu peux commencer par créer ta fiche de liens afin de donner l’opportunité aux autres de te harceler jour et nuit (quant à toi n’hésite pas à leur rendre la pareille, personne ne mord je te l’assure). N'hésite pas également à abuser de Starchat au travail (t'inquiètes, tout le monde le fait). Si tu as déjà des idées à foison et que tu veux offrir l’opportunité à d’autres d’avoir une relation privilégiée avec ton personnage, tu peux créer ton scénario ou pré-lien, en espérant que tu trouveras vite preneur !
Enfin, tout au long de ton aventure parmi nous, pense à surveiller le sujet ses annonces pour te tenir au courant des événements du forum. De même, n’hésite pas à nous faire part des problèmes que tu peux rencontrer en passant par la case questions et suggestions.
Sur ce, profite bien de ton voyage spatial (on sait pas combien de temps il durera) !
Sujet: (#) Re: "I'm only human after all" ~ Uriel Dim 14 Jan - 14:23